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Stratégie social media : qu’est ce que le ROI et comment le mesurer sur les réseaux sociaux

Il est difficile de savoir si le Tweet que vous avez posté la semaine dernière a été efficace pour votre entreprise ou si votre dernier post Instagram a augmenté les résultats si vous ne calculez pas le retour sur investissement (ROI) de votre campagne dans les réseaux sociaux. Si votre entreprise dépense de l’argent pour faire du marketing sur les réseaux sociaux, il est important de déterminer le retour sur ces investissements. 

Pourquoi mesurer le ROI des réseaux sociaux ?

Le retour sur investissement est un pourcentage que nous calculons en fonction de l’investissement et des avantages que nous obtenons grâce à nos actions sur les différentes plateformes sociales pour savoir quel est le taux de retour de cet investissement.

Pensez à ce qui se passerait si nous lancions une campagne Google AdWords sans jamais vérifier combien nous payons par clic, quel type de taux de clics nous obtenons ou si l’une des personnes qui ont cliqué sur vos annonces était en fait des conversions. Cela semble contre-intuitif, mais c’est exactement ce qui se passe lorsque les efforts de campagne sur les réseaux sociaux ne sont pas mesurés.

Les étapes pour mesurer son ROI social Media

La formule pour mesurer le ROI de votre campagne est simple :

(Bénéfices – coûts) x 100 / coûts

Comme vous pouvez le voir, vous n’avez pas besoin d’être mathématicien ou de passer trop de temps à calculer l’investissement. Cependant, afin de compléter cette formule et de mesurer avec succès le ROI de votre campagne de networking, vous devez d’abord suivre 3 étapes simples.

1 – Choisissez le KPI à utiliser  

Ce sont les métriques les plus importants pour calculer le retour sur investissement dans les principaux réseaux sociaux.

Instagram 

Portée : indique le nombre d’utilisateurs touchés par votre contenu.

Impression : il mesure le nombre de personnes qui ont vu une story ou une publication.

Interaction : nombre de likes, de commentaires, nombre de posts sauvegardés et partagés. Ils comptabilisent aussi les contacts sur le site et sur les boutons de contact, ainsi que les visites sur le profil après avoir consulté le contenu.

Abonnés : le nombre d’abonnés entre également en jeu lors de la planification des objectifs et de leurs indicateurs de performance.

LinkedIn 

Impressions et vues : mesurez le nombre de personne qui ont vu les posts et les articles publiés.

Interactions : tenez compte du nombre de clics, de réactions, de commentaires, de partages et du taux d’engagement.

Nombre et informations des followers : sur LinkedIn l’un des indicateurs que vous pouvez vérifier en plus du nombre de followers est leur information. Par exemple : lieu, sexe, taille de l’entreprise et l’intitulé des postes.

Facebook

Portée : le nombre de personnes qui ont consulté votre page. Cela inclut l’affichage des publications, des histoires et des publicités, des informationjs sociales des personnes qui interagissent avec votre page…

Interaction avec le contenu : likes, commentaires, nombre de paratages…

Si vous avez une campagne active :

Résultats : achats, articles ajoutés au panier et clics sur les liens.

Coût par résultat : combien coûtent en moyenne les résultats de vos annonces.

2- Gardez une trace de chaque indicateur 

 La prochaine étape après avoir décidé à quelles métriques prêter attention afin de connaitre votre ROI dans les réseaux sociaux consiste à effectuer une analyse périodique des indicateurs. Ces vérifications vous permettront de savoir si vous êtes proches ou non de vos cibles. En revanche, le suivi est très utile pour ajouter la stratégie si nécessaire ou décider de continuer dans la même voie si celle-ci est couronnée de succès.

3- calculer votre investissement

C’est probablement l’une des étapes les plus fastidieuses mais nécessaires à effectuer. Pour cela, vous devez comprendre l’investissement total que votre entreprise a alloué pour travailler sur ces plateformes.

Pour cela vous devez considérer les aspects suivants :

Coût des outils utilisés : les principaux réseaux sociaux sont gratuits, mais il faut se demander si vous avez un forfait premium pour plateforme, par exemple, la gestion des réseaux sociaux.

Budget publicitaire : gardez une trace de l’argent dépens pour les publicités sociales.

Création de contenu : vous devez également considérer combien vous coûte la production de contenu diffusé sur les réseaux

Agence marketing : la plupart des entreprises préfèrent investir dans l’embauche d’une agence marketing et de communication pour gérer leurs stratégies de médias sociaux. si tel est votre cas, considérez cet investissement dans votre budget pour pouvoir calculer le ROI sur les réseaux sociaux.

4- créer un rapport sur le ROI des médias sociaux

Enfin, rassemblez toutes les informations que vous avez recueillies au cours du processus et exprimez les données dans un rapport vous pouvez crer votre propre modèle personnalisé pour éviter de repartir de zéro.

Cahier des charges : une pièce maîtresse dans le développement de vos projets

 Que ce soit dans le domaine du développement logiciel ou de la construction, le cahier des charges joue un rôle central dans tout contrat de travaux et de services lorsqu’il s’agit de préciser quoi, comment et dans quel délai un projet doit être réalisé.

Qu’est ce qu’un cahier des charges

Un aperçu détaillé de chaque page de votre site Web. Son but est de clarifier la vision de votre futur site Web, à la fois pour vous et pour les personnes qui seront impliquées dans sa création, afin que tout le monde soit clair sur les résultats dès le départ. Idéalement, ce plan devrait résulter d’un effort de collaboration avec votre développeur Web, votre concepteur et votre rédacteur.

Le cahier des charges liste les droits, obligations et responsabilités qui les unissent et c’est à partir de ce descriptif que les entreprises candidates présentent leurs offres en précisant le temps dont elles auront besoin et le prix. 

L’entreprise chargée de son exécution (ou entrepreneur) doit se conformer le plus précisément possible aux exigences du contractant. De même, le contractant peut, par son intermédiaire, vérifier dans quelle mesure ses attentes sont réalisables. 

 Qui doit réaliser le cahier des charges ?

Rédiger un cahier des charges est un exercice qui demande une grande rigueur et une bonne vision globale du projet, avant de se lancer dans la création d’un site internet. Si la personne a aussi de l’expérience dans la rédaction de documents de ce type, elle aura le profil idéal !

Bref, le responsable principal du projet de création de site web devrait être celui qui contribue le plus au cahier des charges, même s’il n’est pas celui qui est chargé de le rédiger. Dans le cas d’un projet d’entreprise, tous les services concernés doivent être impliqués ou du moins consultés. 

Le rédacteur doit être méthodique, capable d’organiser une multitude de détails sur tous les aspects du projet de manière structurée et lisible. Si besoin, vous pouvez même externaliser la rédaction du cahier des charges d’un site internet.

Que doit-on trouver dans le cahier des charges ?

Il n’y a pas de plan prescrit par la loi pour l’élaboration d’un cahier des charges. Cependant, certains contenus ont été standardisés avec la pratique.

Présentation globale du projet

Présentation de la société :

  • Présenter l’activité de l’entreprise : date de création, services ou produits proposés, nombre de salariés, chiffre d’affaires, grands axes de développement, principaux concurrents, etc.
  • Expliquez la fonction de votre projet web dans la stratégie de l’entreprise.
  • S’il s’agit de la refonte d’un site web déjà existant, précisez : son trafic mensuel, quelques statistiques de performances (taux de rebond, taux de conversion…), le nombre de pages web existantes à récupérer, les technologies utilisées, etc.

Les objectifs du site :

Vous devez détailler le ou les objectifs de votre site Web. Indiquez si c’est :

  • Un site e-commerce destiné à vendre des produits en ligne
  • Un site vitrine pour présenter l’activité de votre entreprise
  • Une galerie multimédia (vidéo, audio, images) en ligne
  • Un site promotionnel, par exemple pour annoncer un événement
  • un logiciel en ligne

Le public cible du site :

  • Vous ciblez les entreprises (B2B) ou les particuliers (B2C) ?
  • Quels sont les caractéristiques et les intérêts de votre public cible ?
  • Vous devez identifier les différents segments qui composent votre public (par exemple, les PME et/ou les grandes entreprises) et prioriser leur importance stratégique.

Objectifs quantitatifs :

Ce type d’informations doit vous donner une idée du niveau d’activité que vous attendez sur votre futur site web, car cela peut impacter votre choix d’infrastructure technique.

  • Quelles attentes de trafic avez-vous pour votre site ?
  • Dans le cas d’un site e-commerce, quels sont vos objectifs en termes de volume de ventes ?
  • Quel volume mensuel de leads comptez-vous collecter avec vos formulaires ?

Portée du projet :

  • Votre site doit-il être multilingue ?
  • Dans quelles langues doit-il être publié ?
  • Pour chaque langue, en plus de traduire le contenu, faut-il faire d’autres adaptations ?
  • Vous souhaitez que le site soit adapté aux appareils mobiles ?

Description des éléments existants :

  • Une ancienne version du site existe-t-elle déjà en ligne ?
  • Possédez-vous le nom de domaine que vous souhaitez utiliser ?
  • Qu’en est-il de l’hébergement Web ?
  • Des documents de présentation de l’entreprise ou des produits sont-ils disponibles ?
  • Quelles sont les ressources disponibles (logos, éléments graphiques, textes…) ?
  • Existe-t-il des ressources humaines, internes ou externes, déjà affectées au projet ? (chef de projet, webdesigner, webmaster…) ?

Description graphique et ergonomique

Identité visuelle :

Si vous avez des éléments graphiques que vous souhaitez réutiliser comme base de votre nouvelle identité visuelle, n’hésitez pas à les inclure dans le cahier des charges de votre site internet.

  • Quelle sera la couleur corporate de votre site ? Y aura-t-il plus de couleurs dominantes ?
  • Y aura-t-il des variations du code couleur selon les rubriques ou les pages de votre site ?
  • Y aura-t-il des variations de votre logo en fonction de la couleur de vos pages Web ?
  • Vous avez des éléments visuels à réutiliser ?
  • Quelles lignes visuelles de base souhaiteriez-vous intégrer ? Assurez-vous de proposer des exemples concrets de sites qui vous inspirent !

Conception :

Vous avez des exigences particulières concernant le design de votre futur site internet : flat design, effet parallaxe, etc. ?

Schémas :

Avez-vous créé des schémas graphiques pour décrire l’organisation des pages principales de votre site Web ? Ce n’est pas un élément obligatoire, surtout si vous souhaitez laisser la liberté à votre fournisseur. Mais si vous avez une idée précise de ce que vous recherchez, vous pouvez envisager d’utiliser un programme de création de maquettes pour créer vos schémas.

Description fonctionnelle et technique

Si vous disposez de spécifications fonctionnelles détaillées ou de tout autre document utile, n’oubliez pas de les ajouter en annexe à votre cahier des charges.

Arborescence du site :

Faire un aperçu de l’arborescence des pages de votre site web est généralement une bonne idée.

  • Quelles sont les principales rubriques de votre site ?
  • Comment sont organisées les différentes catégories ?
  • Quelles sont les pages principales ?

Descriptif fonctionnel :

  • Votre site comprend-il une boutique en ligne ? Si oui, essayez de préciser les modes de livraison et de paiement attendus, la présence de fonctionnalités de cross-selling …
  • Devrait-il y avoir un espace client protégé par mot de passe ?
  • Vous souhaitez disposer d’un back office (espace privé) pour suivre l’activité ? Spécifiez les droits d’administrateur dont vous avez besoin, illustrez vos processus métier avec des schémas.
  • Votre site doit-il avoir un moteur de recherche interne ? Un blog? Un module d’abonnement à la newsletter ?

Informations sur le contenu :

  • Quels différents types de contenus comptez-vous présenter sur votre site : articles, images, vidéos, ressources téléchargeables, etc. ?
  • Précisez vos besoins en matière de modification de contenu et de création de pages.
  • Indiquez si vous souhaitez que le code HTML respecte les normes SEO, notamment dans les balises de titre et les méta informations.

Restrictions techniques :

  • Existe-t-il des technologies imposées ou prioritaires : langages, frameworks, CMS… ?
  • Avec quels navigateurs votre site doit-il être compatible ?
  • Souhaitez-vous que le fournisseur s’occupe de l’hébergement Web ?
  • Quels systèmes externes comptez-vous intégrer : réseaux sociaux, comptabilité, facturation, email marketing, marketing automation, CRM…

Comment faire face à l’algorithme LinkedIn ?

Depuis que les algorithmes ont pris le contrôle de nos vies numériques, nous passons la journée à cueillir la marguerite : est-ce qu’ils m’aiment ? ne m’aiment-t-ils pas ? montrent-t-ils mes publications à mes abonnés ?  Hier beaucoup de gens m’ont vu, aujourd’hui c’est à peine montré… Et qu’est-ce que je peux y faire ?

Un algorithme est un calcul informatique ou des règles de programmation utilisées par les réseaux sociaux qui déterminent ce qu’un utilisateur verra sur ce réseau social. Il est responsable de ce que vous voyez sur LinkedIn, quand vous le voyez et combien de fois vous le voyez. C’est donc un calcul dont dépend la visibilité de vos posts et articles.

Par exemple, s’il y a une préférence pour le format vidéo, l’algorithme le valorisera mieux par rapport à d’autres types de contenus et priorisera sa visibilité. En même temps, l’algorithme est aussi l’explication pour laquelle vos publications organiques s’affichent de moins en moins même si vous avez un énorme réseau de contacts : il peut être ajusté pour afficher le contenu payant avant le contenu organique.

Lorsque vous accédez à LinkedIn, Facebook ou Instagram, vous ne voyez pas tout ce que les personnes que vous suivez publient. La même chose se produit dans l’autre sens : vos contacts ne voient pas tout ce que vous publiez sur LinkedIn.

Chaque réseau social a ses propres règles. Facebook n’utilise pas le même algorithme que Twitter, et Instagram n’utilise pas le même algorithme que LinkedIn. Une page d’entreprise sur Facebook, par exemple, a une portée organique minimale (elle tend vers zéro), ce qui n’arrive toujours pas sur LinkedIn.

LinkedIn a son propre algorithme avec ses propres particularités, vous devez savoir comment cela fonctionne :

L’algorithme aime l’interaction : les premières minutes et les réactions sont essentielles pour que l’algorithme affiche plus ou moins la publication. Plus tôt il y a une réaction de vos abonnés, mieux c’est.

Il y a des réactions qui donnent plus de points que d’autres : commenter est bien mieux que partager ou donner des « likes » car cela implique un plus grand engagement de la part de l’utilisateur et que l’algorithme récompense. A contrario, s’ils cliquent sur « masquer le message » ou le marquent comme « spam », ils le rendront invisible.

L’algorithme pénalise les contenus massifs ou agressifs et peut même le classer comme malveillant, arnaque ou spam s’il considère que vous saturez de publications « non pertinentes » et trop fréquentes ou répétitives.

Faites passer vos abonnés le plus de temps possible dans votre publication : le contenu vidéo et les diapositives d’images vous aideront, ainsi que le ton proche et les notes d’humour et de complicité avec le lecteur.

Suivez les sujets d’actualité car les utilisateurs manifestent de l’intérêt et souhaitent en savoir plus et, par conséquent, il leur est plus facile de réagir en réveillant également l’algorithme.

Utilisez des techniques de référencement dans la copie de vos publications : utilisez des mots clés pertinents en fonction de vos objectifs et de la pertinence pour l’audience.

Incluez consciemment des hashtags pour taguer votre message et permettre à l’utilisateur de vous trouver facilement.

Utilisez les ressources que LinkedIn met à votre disposition : post, LinkedIn pulse, etc. Un utilisateur actif est un utilisateur précieux.

Soyez réactif vis-à-vis des autres utilisateurs : partagez leur contenu, identifiez les personnes susceptibles d’être intéressées, citez vos sources, participez à des groupes qui vous sont liés, etc. La loi de réciprocité est très présente sur LinkedIn.

Coulisse de l’algorithme LinkedIn

Chaque fois que vous publiez un post sur LinkedIn, voici ce qui se passe dans les coulisses :

Etape 1 : filtre initial

Chaque fois que vous publiez une mise à jour sur LinkedIn (même s’il s’agit d’une image), un bot place immédiatement le contenu dans l’une des trois catégories suivantes :

  • Spam
  • Faible qualité
  • Clair

Si votre contenu est classé dans la catégorie « faible qualité », vous avez peut-être encore de l’espoir. Il pourrait même passer aux étapes suivantes.

Etape 2 : Test

La deuxième partie est le processus de test d’audience. Une fois que les robots ont catégorisé votre message, ils l’envoient à votre public pour voir à quel point le contenu est populaire. Au début, ils le montrent à un petit groupe de personnes.

À ce stade, votre publication doit éviter que les utilisateurs « cachent » votre contenu de leurs flux. Ou marquez le message comme « Signaler comme spam ».

Etapes 3 : scoring du contenu

Une fois placées devant la sélection de vos amis, différentes actions ont des poids différents dans l’algorithme. Par exemple, un « j’aime » peut n’avoir qu’un seul point, alors qu’un commentaire en a deux. Un « partage » montre que le contenu est populaire, donc trois points. Le score du poste décidera de son avenir ou de son sort. Il sera soit rétrogradé parce qu’il est de mauvaise qualité, soit montré à plus de gens parce qu’il est de haute qualité.

Pour élargir la portée de vos publications, gardez à l’esprit les intérêts et les besoins de votre audience, encouragez-les à s’engager via des nouvelles percutantes et utiles.

Pourquoi la description d’un produit est importante pour votre stratégie ?

Pour augmenter l’intérêt de vos clients potentiels pour vos produits, les décrire de manière adéquate et détaillée est décisif.

L’importance de la description d’un produit

Imaginez que vous ayez besoin de quelque chose de bien précis: vous allez en ligne, cliquez sur le premier résultat et seule une photo du produit apparaît sans description en vue. C’est peut-être ce dont vous avez besoin, mais il n’y a aucun moyen de le savoir tant que vous n’avez pas le produit entre les mains. Si vous n’aimez pas acheter à l’aveuglette, vous quitterez sûrement la page et en entrerez une autre qui vous offre ce dont vous avez besoin.

L’une des mauvaises pratiques les plus courantes dans le E-commerce électronique (encore plus fréquente dans le commerce social) est l’absence de description technique du produit proposé, quelle que soit la catégorie à laquelle il appartient. Cela se traduit généralement par des pertes, soit dans vos mesures de conversion soit auprès de vos clients.

La description est la base du contenu de tout e-commerce, puisque c’est par elle que votre client potentiel saura ce que vous proposez. Un bon texte, en plus de présenter le produit, doit susciter la confiance et stimuler l’envie d’acheter.

Beaucoup de gens ne le savent pas, mais le texte de description est essentiel à toute stratégie de référencement.

Autrement dit, les pages de produits contenant de nombreuses informations bien conçues généreront du trafic pour votre site. Il est important de savoir que les moteurs de recherche ne lisent pas seulement les images, mais que le texte lui-même est essentiel.

Comment faire une bonne description ?

Une description bien faite apporte d’immenses avantages, il est donc nécessaire d’utiliser certaines techniques de séduction pour attirer vos clients :

Soyez clair :

Lister les caractéristiques du produit et le plus clair possible : de quoi s’agit-il, à quoi sert-il, de quoi est-il composé ? Tout ce genre d’informations que les gens ont pu trouver sur la boîte du produit.

Mettez un titre créatif

Les titres sont essentiels pour les livres, les textes, les e-mails… Cela ne devrait pas être différent avec les produits. Ainsi, un titre créatif et persuasif ne peut manquer pour attirer le public.

N’oubliez pas que vous écrivez pour Internet

Bien que les ventes soient pertinentes, la description de votre produit contribuera également à améliorer la visibilité de votre moteur de recherche. Pour cela il vous faudra recourir à des pratiques courantes en SEO comme l’utilisation de mots-clés obtenus grâce à des outils de recherche.

Mettez en avant les avantages

Expliquer les avantages du produit est aussi important qu’un bon titre ou des photos attrayantes. C’est justement à travers eux que vous pourrez séduire votre public cible, en expliquant quels sont les avantages de votre produit et pourquoi il est rentable de l’acheter.

Quels que soient votre créneau et votre audience, l’amélioration de vos descriptions de produit peut avoir un impacte considérable sur votre trafic organique et vos taux de conversion.

Comment attirer du trafic vers votre Landing page ?

Vous devez avoir entendu les termes Landing page et Home page utilisés de manière interchangeable ! Mais sont-ils vraiment les mêmes ? Eh bien, la réponse est non.

Landing page :

Une landing page est une page Web sur laquelle un consommateur peut atterrir. Dans le domaine du marketing, il s’agit généralement d’une page autonome, distincte de votre page d’accueil ou de toute autre page, qui sert un objectif unique et ciblé.  Elle incarne un suivi de toutes les promesses que vous avez faites dans votre contenu. Essentiellement, c’est la prochaine étape pour qu’un visiteur devienne un client. 

Contrairement aux pages Web, qui ont généralement de nombreux objectifs et encouragent l’exploration, les landing pages sont conçues avec un objectif spécifique, appelé Call To Action (ou CTA). C’est cette orientation qui fait des landing pages la meilleure option pour augmenter les taux de conversion de vos campagnes marketing et réduire le coût d’acquisition d’un prospect ou d’une vente.

Générer du trafic vers le landing page, comment ?

Vous allez devoir remplir l’entonnoir de visiteurs pour que votre landing page fonctionne. Heureusement, vous avez beaucoup d’options. Explorons quelques-unes des sources de trafic les plus courantes vers les landing pages.

Paidsearchtraffic

La plupart des moteurs de recherche incluent de la publicité payante. Lorsqu’un internaute effectue une recherche (par exemple, « Vente produits chinois sur Alger »), ces annonces apparaissent, mais pas trop clairement, dans les résultats de recherche.

Aux antipodes des autres résultats de la page, pay-per-click ads sont préparées et payées par les spécialistes du marketing. Vous aller ciblez les internautes en fonction de leur terme de recherche, de données démographiques ou d’intérêts révélés par leur historique de navigation.

Lorsque vous créez une annonce, vous pouvez choisir où le lien emmène votre visiteur. Oui, vous pouvez choisir de les envoyer sur votre page d’accueil. Toutefois, il est préférable de créer une landing page autonome qui correspond au contenu de votre annonce et propose Call to Action de manière explicite.

Paid social traffic

La diffusion d’annonces sur des sites de réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram, Twitter ou LinkedIn est un excellent moyen de cibler les personnes et les communautés qui seront particulièrement intéressées par votre marque, qu’elles soient ou non déjà sur le marché.

Au lieu de cibler les personnes cherchant le « Vente produits chinois sur Alger »,  vous pouvez faire de la publicité auprès des personnes qui ont ajouté « l’appréciation de la cuisine chinoise » à leur liste d’intérêts dans leur profil Facebook. Encore plus bluffant, vous pouvez entrer en contact avec les clients avant qu’ils ne commencent à rechercher votre produit ou avant qu’ils ne le désirent !

En plus d’offrir des fonctionnalités de ciblage avancées, chaque canal social a ses propres caractéristiques. Instagram, par exemple, fonctionne bien pour les produits et les marques de lifestyle avec un fort attrait visuel. D’autre part, les annonceurs B2B préfèrent utiliser LinkedIn pour atteindre des professionnels travaillant dans des secteurs spécifiques.

Campagne par E-mailing

Le courrier électronique est souvent présenté comme le canal marketing le plus efficace en raison de son énorme portée (et de ses faibles coûts) par rapport aux autres plates-formes. Une étude de 2018 du groupe Radicati prévoit qu’il y aura 4,2 milliards d’utilisateurs de messagerie d’ici fin 2022. C’est plus de la moitié de la planète !

Une combinaison puissante d’e-mails et de la landing page peut être utilisée à la fois pour entretenir les relations existantes avec les clients et pour en acquérir de nouvelles.

 Après avoir créé une liste de contacts, votre e-mail soigneusement conçu vous permet d’attirer les lecteurs avec votre offre, tandis que la landing page remplit les détails et dirige les visiteurs vers un appel à l’action.

Traffic de recherche organique

Le terme « trafic organique » fait référence à tous les visiteurs provenant d’une source non payante, comme la moitié inférieure des résultats de recherche Google ou Bing (SERP). En créant un contenu convaincant et utile sur votre site Web ou vos landings pages, vous pouvez vous assurer que l’apparition fréquente de votre entreprise dans les recherches associées. Plus votre contenu est classé, mieux c’est.

L’appeler « non payante » est cependant un peu trompeur. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de temps et d’argent investis dans le classement. (Si seulement !) Il existe tout un groupe de professionnels dédiés à extraire autant de trafic organique que possible de Google grâce à un équilibre entre une stratégie minutieuse, un savoir-faire technique et une création de contenu brillante. C’est l’optimisation des moteurs de recherche (SEO) en un mot. 

Quelle est la différence entre une landing page et une homepage ?

Une landing page et une page d’accueil, bien que souvent utilisées de manière interchangeable sont très différentes et remplissent des fonctions opposées.

Les homepages sont destinées à fournir une approche plus holistique d’un site web, y compris des informations générales, plus d’options de navigation, une variété de contenus et plus encore.

L’idée est de cliquer depuis la page d’accueil vers d’autres pages. Il sert de passerelle principale de votre site web et présente une introduction aux navigateurs. Etant la première impression, il est essentiel que vous fassiez les choses correctement, car cela pourrait faire la différence entre votre site web et celui de vos concurrents.

 Les sites web avec des pages d’accueil médiocres ont généralement des taux de rebond élevés et des niveaux de trafic tout aussi médiocres.

En revanche, une landing page est conçue pour inciter un visiteur à agir, contient des informations spécifiques et limitées et peu de liens, afin de ne pas distraire les visiteurs.

De toute évidence, la landing page doit être synchronisée avec votre page d’accueil : l’image de marque, le ton, la messagerie…doivent être alignés

DIGIMACT : 1ère édition du salon du 1 au 3 février 2022

Sous le parrainage de, Messieurs le Ministre de la Poste et des télécommunications, le ministre de la Numérisation et des statistiques et le Ministre Délégués auprès du Ministre chargé de la connaissance des Start-up, Effectif événementiel organise la 1ér édition du salon DIGIMACT, un événement dédié à l’apport du digital qui se tiendra du 1er au 3 février au Centre des Conventions d’Oran (CCO).

Pour sa première édition, le salon regroupera« toutes les énergies actives dans les métiers liés au numérique et aux fournisseurs de solutions digitale ».

Plus de 100 participants de la sphère digitale seront attendus: des fournisseurs d’équipement, startups, développeurs d’application, fournisseurs d’accès, opérateurs de téléphonie, plateformes de Cloud computing, services internet des objets (IOT), banques et assurances, agences digitales, clubs scientifiques, gestionnaires d’applications mobiles.

 « le digital au service du Marketing territorial et urbain, à l’ère des jeux Méditerranéens », ainsi sera la thématique qui règnera lors de cette première édition, à savoir établir un lien dynamique entre les démarches territoriales et le processus de digitalisation.

DIGIMACT « Vous donnera cette possibilité unique, d’être au-devant de cette dynamique que connaît Oran, en mettant en évidence votre potentiel technologique tout en vous positionnant parmi les incontournables acteurs du digital en Algérie ».

Une panoplie d’activités seront au rendez-vous. Des talks, des conférences, des networking B to B avec des professionnels IT algériens et internationaux afin de partager les meilleurs pratiques et échanger sur le processus de la transformation digitale et leurs modalités.

Les tendances social media 2022

Hootsuite a rendu publics les résultats de l’enquête et des travaux de recherche qu’elle mène chaque année et qui tente de définir les tendances des réseaux sociaux de l’année suivante, en l’occurrence les tendances des réseaux sociaux en 2022.

Tendance : La réalité augmentée

Les recherches liées à la réalité augmentée sur les réseaux sociaux ont augmenté jusqu’à 81% au cours des cinq dernières années. Les réseaux sociaux ont vraiment une large marge de croissance dans ce domaine. En effet, la réalité virtuelle et la réalité augmentée ont des prévisions de marché pour 2023 pouvant atteindre 75 000 millions de dollars de revenus.

En ce qui concerne les jeux et autres utilitaires au sein des plateformes sociales telles que les présentations de produits, les réseaux sociaux ont une grande marge de manœuvre pour s’y développer.

Une autre grande utilisation de cette technologie ces dernières années dans les réseaux sociaux sont les filtres. Instagram a intensifié l’utilisation de la réalité virtuelle au sein de sa plate-forme à travers des filtres, mettant même en œuvre la possibilité pour ses utilisateurs de créer leurs propres filtres.

tendance: bite-size content

Les gens passent généralement plus de temps sur les réseaux sociaux, mais ils passent moins de temps sur un post. La durée d’attention humaine est maintenant passée de 12 secondes en 2000 à seulement huit secondes. Les plateformes de médias sociaux s’adaptent à cela en proposant à la place des contenus moins longs.

Tendance : élimination des cookies

Ceux qui bénéficient de la publicité et du marketing basés sur les cookies des utilisateurs doivent reconsidérer leurs stratégies. En janvier 2020, Google a annoncé son intention de se débarrasser des cookies tiers dans le navigateur Google Chrome en 2022. Même s’il a récemment précisé qu’il retarderait un peu plus la mise en œuvre de cette mesure.

Depuis que cette annonce a été faite, plusieurs marques se sont inquiétées de ce que le navigateur Google Chrome pourrait signifier sans cookies. Cette mesure peut indubitablement changer les règles du marché publicitaire d’aujourd’hui.

 Par conséquent, si votre stratégie repose sur l’utilisation de cookies, envisagez d’utiliser d’autres stratégies.  L’utilisation de l’inbound marketing est sans aucun doute une excellente option pour atténuer cette mesure de Google qui peut sembler un peu extrême.

Tendance : contenu généré par l’utilisateur (UCG)

Le contenu généré par les utilisateurs (UCG) sur les réseaux sociaux a augmenté au fil du temps et constitue un moyen ludique, engageant et naturel d’exciter votre clientèle. Cela confère une crédibilité énorme à votre entreprise lorsque des consommateurs publient des commentaires sur vous et les articles qu’ils ont achetés dans votre magasin ! Il n’y a pas de meilleur témoignage que l’expérience personnelle réelle.

De nombreuses grandes marques utilisent depuis des années du contenu généré par les utilisateurs dans le cadre de leur stratégie de marketing numérique. Ils savent que cela les aide à se connecter à leur public et à quel point c’est puissant !

Chez Netbeopen, nous aidons depuis plus de 10ans les entreprises, les indépendants et les particuliers à briller sur les réseaux sociaux. Nous pouvons vous aider à créer une stratégie gagnante pour vendre plus. Contactez-nous pour vous aider à booster votre stratégie !

Qu’est-ce que le pivot entrepreneurial ?

Dans le monde des startups, aucun entrepreneur ne peut survivre sans avoir besoin de s’adapter. Aucun modèle commercial initial n’est parfait, et à mesure que les besoins des individus changent et que la technologie évolue, la capacité de l’entrepreneur à s’adapter et à pivoter doit également aller dans ce sens.

Pivot, quezako ?

Dans l’univers des startups, le terme pivot, introduit par l’entrepreneur et conseiller en risques Eric Ries, est utilisé pour décrire les startups téméraire qui changent rapidement de trajectoire, sur la base des leçons apprises. Le concept est d’utiliser l’expérience récente, pour déterminer une nouvelle approche pour une prochaine étape, à partir du point actuel.

Instagram, un exemple emblématique d’un pivot à succès 

L’un des cas les plus marquants est celui d’Instagram. À l’origine, Instagram ressemblait davantage à Foursquare, c’est-à-dire un service de localisation où vous pouviez vérifier en fonction de vos emplacements et partager des photos dans l’application.

Ses créateurs ont réalisé le succès de l’application grâce au partage de photos, et ont décidé de changer leur approche pour celle d’un réseau social dont l’idée principale était de partager des photos.

Pourquoi les entreprises pivotent-elles ?

Dans les entreprises les plus développées, les raisons les plus courantes pour lesquelles les entrepreneurs pivotent sont le besoin de croître, la solution étant de lancer un nouveau produit. Ceci est particulièrement important dans les secteurs de l’informatique et de la technologie, où naturellement les cycles de vie des produits et les logiciels qui les entourent changent très rapidement. 

Cependant, ce qui est devenu de plus en plus évident dans les domaines de la transformation numérique, les modèles commerciaux pivots ne se limitent pas à un ou à un groupe d’industries. En fait, alors que les entreprises ont de plus en plus besoin d’adopter et de tirer parti du numérique, nous constatons que le pivotement est devenu une pratique courante, même dans des secteurs où historiquement il n’était pas souvent observé, à l’instar l’industrie automobile et des télécommunications.

Qu’en est-il des industries moins axées sur le numérique ? Ceux qui ne le font pas, à l’image des industries plus « traditionnelles » ont tendance à beaucoup moins pivoter en raison d’un besoin moindre de passer à un nouveau produit. Les industries telles que l’exploitation minière profitent également du fait que les produits qu’elles offrent (or, argile et aluminium par exemple) sont susceptibles d’avoir toujours une forte demande dans l’écosystème économique. 

Ces géants qui ont donné un second souffle à leur business 

Nike a participé à ce type de pivot au sein de son activité de golf, choisissant d’arrêter de vendre des clubs de golf et des équipements connexes et de se concentrer uniquement sur les vêtements et les chaussures.

LinkedIn a commencé comme une offre populaire mais limitée qui permettrait aux professionnels de publier et de partager leurs positions, leurs réalisations et leurs recommandations. Mais au fil du temps, la société a ajouté des éléments tels que des listes, des groupes et une publicité limitée parmi les membres pour améliorer les avantages du produit sur les réseaux sociaux.

Cela a pour effet que les utilisateurs passent plus de temps et plus de temps actif sur le site LinkedIn, plutôt que de simplement l’utiliser comme un « super CV » statique pour établir un lien avec des prospects et des collègues.

Starbucks a commencé en tant que détaillant de grains de café, mais s’est bien sûr terminée en tant que détaillant de café frais et d’autres aliments. Aujourd’hui, bien sûr, les clients peuvent acheter du café en grains ou moulu à la livre dans les magasins Starbucks, mais l’impératif qui conduit toujours des millions de personnes dans les magasins de l’entreprise chaque jour est une tasse de café fraîche et distincte.

En définitive, Le pivot est un processus d’humilité. Il s’agit de ravaler sa fierté, de comprendre où va votre entreprise et de décider d’une ligne de conduite potentiellement drastique. Pourtant, si votre entreprise est radicalement sous-performante, le pivot est la voie à suivre.

Vos appareils « Apple » pourront peut-être détecter des problèmes de santé mentale à l’avenir

La marque à la pomme développe un logiciel qui pourrait diagnostiquer des maladies psychologiques telles que la dépression ou même le déclin cognitif

En collaboration avec l’université de Californie et la société pharmaceutique Biogen, Apple décide de développer une nouvelle fonctionnalité qui détectera les problèmes de santé mentale de ses utilisateurs. Pour cela, l’entreprise utilisera des données biométriques pour l’informer de son état de santé.

Selon les rapports du Wall Street Journal, Apple est susceptible d’utiliser une myriade de données du capteur qui comprennent la durée du sommeil dans une journée, les activités physiques, les mouvements, l’expression faciale et la vitesse de saisie. Ainsi, la firme espère identifier les « signaux numériques » en corrélation avec les problèmes de santé mentale.

Des données telles que la fréquence cardiaque seront également collectées afin de réduire le déclin cognitif de l’utilisateur.

L’Université de Californie étudie déjà les niveaux d’anxiété et de dépression à l’aide d’Apple Watch. Plus de 3 000 utilisateurs se sont portés volontaires et ont fourni leurs données iPhone pour l’étude. 

Si les données des études correspondent à des symptômes de dépression ou d’anxiété, Apple pourrait les utiliser pour créer une fonctionnalité qui avertit les utilisateurs s’il diagnostique des signes d’un problème de santé mentale. L’iPhone pourrait inciter les utilisateurs à se faire soigner, ce qui pourrait être important car une détection précoce peut améliorer la qualité de vie à long terme

Apple s’est également associé à Duke University pour trouver des moyens de détecter l’autisme chez les enfants en utilisant l’appareil photo de l’iPhone pour observer comment les enfants se concentrent

IBM Telum, cette puce d’intelligence artificielle capable de détecter les fraudes bancaires en temps réel

IBM a annoncé les détails du nouveau processeur IBM Telum lors de la conférence annuelle Hot Chips, conçu pour apporter une inférence d’apprentissage en profondeur aux charges de travail de l’entreprise et faciliter l’identification et l’interception des fraudes pile au moment où elles sont commises

Destinée au monde de la finance, la nouvelle puce présente une conception centralisée, permettant aux clients d’exploiter toute la puissance du processeur d’IA pour des charges de travail d’IA spécifiques. Elle est adaptée aux charges de travail des services financier telles que la détection des fraudes, le traitement des prêts, l’historique des affaires, le règlement des transactions, la lutte contre le blanchiment d’argent et l’analyse des risques.

Innovation pour la banque, la finance, le commerce et l’assurance

Telum est le premier processeur IBM à intégrer des puces d’accélération pour l’inférence de l’IA lors de la réalisation d’une transaction. Ce processeur va permettre aux applications de s’exécuter efficacement là où se trouvent les données. Il aide, ainsi, à surmonter les approches d’IA commerciales traditionnelles qui ont tendance à nécessiter d’importantes capacités de mémoire et de mouvement de données pour gérer l’inférence.

De nos jours, les entreprises appliquent souvent des techniques de détection de fraude une fois qu’elle s’est produite, ce qui signifie qu’un individu mal intentionné pourrait avoir acheté des produits avec une carte de crédit volée avant que le détaillant ne s’en rende compte.

En raison des exigences de latence, la détection des fraudes ne peut être effectuée en temps réel. A cet égard, Telum peut aider les clients à passer d’une posture de détection à une posture de prévention des fraudes, sans affecter les accords de niveau de service.

Avec Telum, l’accélérateur est proche des données et des applications critiques, ce qui signifie que les entreprises peuvent faire un volume élevé d’inférences pour des transactions sensibles en temps réel sans avoir recours à des solutions d’IA hors plate-forme, ce qui peut affecter les performances. 

De surcroit, Les clients peuvent également créer et former des modèles d’IA hors plate-forme, les déployer et les déduire sur un système IBM compatible Telum à des fins d’analyse.

L’approche Full Stack de Telum et IBM pour la conception de puces

Telum poursuit la longue trajectoire d’IBM en matière de conception et d’ingénierie innovantes, qui comprend l’intégration et la co-création de matériel et de logiciels couvrant les principaux silicium, système, micrologiciel, systèmes d’exploitation et frameworks logiciels. 

Telum contient huit cœurs de processeur, fonctionnant à une fréquence de plus de 5 GHz, optimisés pour les demandes de charges de travail hétérogènes. L’infrastructure de cache et d’interconnexion de puces entièrement repensée fournit 32 Mo de cache par cœur et peut évoluer jusqu’à 32 puces Telum. La conception du module à double puce contient 22 milliards de transistors et 19 miles de fil dans 17 couches métalliques.

Selon IBM, l’un de ses clients ambitionne d’atteindre un temps de réaction inférieur à la milliseconde pour un volume de 100.000 transactions par seconde. Le défi pour les banques est de taille : l’explosion des paiements numériques a entraîné celle de fraudes.